Paul Verlaine

Textes composés par les étudiants
du cours ATELIER DE LECTURE ET ECRITURE CREATIVE,
inspirés par 'Mon rêve familier' de Paul Verlaine

Mon rêve d’octobre récurrent

Je fais souvent ce rêve tout à fait troublant
Les examens finaux et difficiles approchent
Et, dans ma chambre au collège, je m’accroche
Espérant que mon travail sera concluant.

Soudain, une figure inconnue apparait, sans
Cœur, ce n'est ni mon tuteur ni mon professeur
La silhouette est fantomatique et sans graveur
Il me regarde avec un visage menaçant.

Êtes-vous, Merilyn, prête pour votre défense ?
Avez-vous préparé avec grande diligence
Vos réponses et avez-vous terminé votre thèse ?

Je me retourne, il se retourne et je transpire,
Soudain, je me réveille et sourit avec aise
Les études sont finies, oh merci ! je respire.

PAR MERILYN B

-

Mon rêve familier

Je fais souvent ce rêve si beau et attirant,
D’un jardin fictif qui est seulement à moi et
Qui est propre, calme, plein de fleurs colorées
Calme en toutes saisons, calme mais différent.

Dans ce jardin je travaille, mais pas souvent,
Les plantes me récompensent avec des bouquets
De basilique, persil, oseille et de figuiers
Je travaille sous les pluies, sous le soleil ardent.

De grands arbres l’entourent comme des sentinelles,
Les oiseaux y viennent, les pies, les hirondelles,
La musique de leurs chansons souligne mes jours.

Est-il à la campagne, à la côte, en pleine ville ?
Je l’ignore, c’est l’endroit où je m’exile toujours
Le Monde et tous ses soucis, dieu merci ! filent

PAR ANGELA LOW

-

Le rêve d’une chère amie


Je fais souvent ce rêve, de la mort d’une chère amie

Hélas ! je sens un vide énorme dans mon cœur,

Je pleure mon amie chère qui était comme ma sœur,

Pendant soixante ans, elle a partagé ma vie.



Connue comme une scientifique accomplie,

Très douée, une conteuse de blagues sans peur ! 

Maintenant mon esprit est plein de douleur 

Même s’il y a une promesse de paradis.



Au cours de sa bataille, elle montra son courage,

Trois pelles pleines de terre sur un tombeau en hommage.

Dans un cercueil, en bois noir, sans décoration.



Son âme calme, est-elle libre de vagabonder ?

Elle égayait le monde, c’était sa vocation. 

Mais maintenant le rideau final est tombé.

PAR ANN B

-

Mon rêve consolant

Je fais souvent ce rêve tellement réconfortant
D'une femme issue de mon imagination,
Cette femme idéale, grand-mère par procuration
Elle m'aime sans jugement, elle me comprend, elle m'entend.

Elle est ma protectrice magique, elle m'entend,
Elle déploie ses ailes, je vole sous sa protection
Sa douce présence, oh la la ! quelle sensation !
Peu importe son nom, ou ses attributs charmants

Est-ce un ange, cette apparition si belle ?
Elle me transporte vers un monde dans le ciel
Dieu merci pour ce séjour passé en son sein

À sa voix calme et rassurante, je reste fidèle
Je suis libérée, j'oublie soucis et chagrins
Ce monde fantastique, magique, j'y vais avec elle.

PAR AMANDA

-

Indice

Je fais souvent ce rêve, une langue onirique
Où je deviens une invétérée rêveuse
Car chaque nuit, mon rêve est la complète glaneuse
Faisant de tous mes jours, une œuvre poétique.

Je le fais ? Mon Dieu, non ! C’est mythologique,
Chef-d’œuvre de la Vie, de la Grande Semeuse
Qui parle une langue codée et mystérieuse
D’une Voix éternelle, universelle et unique.

Je fais de mon rêve, ce poème conscient
Qui, comme une belle robe, me révèle gaiement,
Qui me cache dans ces mots étonnants et étranges.

Ni anglais, ni français, ce rêve nocturne tisse
Des fils de la vierge, éphémères comme les anges.
Faits sur mesure, c’est à moi d’y lire l’indice.

PAR ERIN GABRIELLE WHITE

-

La panoplie d’une vie

Je fais souvent ce rêve bizarre et amusant,
Souvent une jeune fille, quelquefois une femme,
Dansant dans un champ de fleurs où nous arrivâmes
Parmi des ombres qui nous saluent, en souriant.

La musique caresse les oreilles, époustouflant !
Mon attirail, Dieu merci ! cesse d’être un problème
Une robe de soie et j’embrasse la vie de bohème !
Amitié et gaieté, le sommeil est fuyant.

Qui est cette fille, cette femme, ce sosie ? Je l’ignore.
Son âge ? La jeune vieillarde sourit à l’oxymore
Parce qu’elle va danser un jour aux champs d'Elyse,

Un pays où les filles qui folâtrent dans les rêves
Augmentent la joie de vivre. Ainsi elles aiguisent
La puissance de partir au bal et sans peur se lèvent.

PAR CARMEL MAGUIRE

-

Le rêve d'une IA

Je fais souvent ce rêve éclatant et charmant 

D’un monde merveilleux, sans haine, sans violence 

Où les hommes sont frères, sans guerre, sans souffrance

Et vivent en harmonie, sans peur, sans jugement

Je vois des fleurs éclore, des oiseaux gazouiller 

Des étoiles briller, des soleils rayonner

Des amours naître, grandir, s’épanouir et durer 

Des ruisseaux murmurer, des forêts frissonner

Des plaisirs partagés, des rires contagieux 

Des espoirs réalisés, des rêves merveilleux 

Je sens des bonheurs infinis, des joies profondes,

Et profite de la douceur de l’instant présent 

Je souris, oh la la, que la vie est féconde

Je goûte à la beauté du jour et du bonheur.


PAR ChatGPT


Using Format